Bury The Hatchet

JAY JAY JOHANSON

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UGS : 3760271010289
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Description

Let’s stop fighting, let’s stop arguing scande le texte de Bury the Hatchet, single et titre éponyme du 11ème album du crooner suédois Jay Jay Johanson.
Quoi de mieux qu’un texte de paix et de pardon pour commencer 2018 ? Jay Jay Johanson aurait il des choses à se faire pardonner ? Une carrière exemplaire, 11 albums maîtrisés, une voix qui fait immédiatement penser à Chet Baker, le dandy scandinave n’est plus tout à fait, à 48 ans, un jeune premier.
Pourtant l’élégance et la finesse de ses mélodies et la mélancolie de ses textes pourraient le classer parmi les éternels dandys… A l’origine, aux temps préhistoriques de la fin des 90’s, Jay Jay Johanson était un des fers de lance du trip-hop ; ce genre musical indéfinissable, tout droit sorti des rues froides de Bristol, oscillant entre électro et hip hop, que quelques lignes ne pourraient résumer. Tricky, Massive Attack, Portishead, et même Bjork sont les artistes majeurs de ce mouvement vite oublié des platines passées les années 2000.

Quand Jäje Johanson (son vrai nom suédois) sort de sa petite ville de Skara pour aller étudier l’art moderne à Stockholm, la Suède, à l’image de l’Europe toute entière, est touchée par la vague trip-hop. D’abord fan de punk et de métal (étonnant non ?), son adolescence est bercée par le jazz, puis le trip hop, notamment avec les sons de Portishead qui auraient beaucoup influencé le jeune homme dans ses compositions.

Avec toutes ses influences contrastées, Jay Jay sort son premier album Whiskey en 1997, avec un single qui le fera connaître auprès du grand public : So Tell The Girls I’m back in town. Un son inclassable, entre jazz et électro, toujours très élégant et qui dessine très vite l’identité
musicale du crooner blond. Hors des sentiers battus, Jay Jay le petit prince discret construit sa carrière d’une pérennité rare à l’époque du tout consommable…

20 ans et dix albums plus tard, dont l’hypnotisant Opium sorti en 2015, on retrouve sur Bury The Hatchet le jeune dandy devenu sage poète dans un registre tout aussi classieux et travaillé, un son parfait pour les longues soirées d’hiver au coin du feu, un verre de vin ou de brandy à la main. Le piano est toujours très présent et la douce mélancolie alterne avec des morceaux plus chaleureux, comme une brume qui se dissipe mais qui revient inéluctablement…

13 morceaux, 13 humeurs différentes qui invitent à redécouvrir l’œuvre délicate de ce crooner nordiste à la voix d’or. Comment ne pas enterrer la hache de guerre sur une telle proposition ?

Marie Laure Sitbon

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